L’apnée du sommeil est un trouble respiratoire fréquent qui se caractérise par des arrêts respiratoires répétés pendant le sommeil. Ces arrêts, appelés apnées, durent généralement de 10 à 30 secondes et peuvent se produire des dizaines, voire des centaines de fois par nuit.
Cela perturbe la qualité du sommeil et peut entraîner une somnolence diurne, des maux de tête, une fatigue constante, des réveils nocturnes parasites, et d’autres symptômes affectant la qualité de vie.
L’apnée du sommeil est souvent due à un blocage partiel ou total des voies respiratoires supérieures, généralement causé par un relâchement des muscles de la gorge pendant le sommeil.
Les symptômes courants sont : les ronflements (forts), les réveils fréquents durant la nuit (y compris pour uriner), la somnolence excessive pendant la journée, les difficultés de concentration, l’irritabilité etc.
Le traitement est le PPC (Pression Positive Continue). Il consiste à maintenir les voies respiratoires ouvertes en délivrant un flux d’air continu pendant le sommeil, via un masque nasal ou facial (chez Oxygem, vous faites partie de la solution. C’est pourquoi vous êtes acteur du choix du masque lui-même, aidé par nos conseils).
Ce traitement PPC améliore la qualité du sommeil et réduit les risques de complications associées à l’apnée du sommeil.
La BPCO est une maladie respiratoire progressive qui bloque l’écoulement de l’air dans les poumons, rendant la respiration de plus en plus difficile.
Elle est principalement causée par le tabagisme, mais peut également résulter de l’exposition prolongée à des irritants pulmonaires (pollution, poussières, etc.).
Les symptômes de la BPCO sont : la toux persistante, la difficulté à respirer, en particulier à l’effort, l’expectoration (crachats) fréquente, la respiration sifflante…
La VNI (Ventilation Non Invasive) est majoritairement utilisée en cas de BPCO, et plus rarement l’oxygénothérapie. La VNI, en particulier, aide à maintenir une ventilation correcte des poumons et réduit l’effort respiratoire.
L’insuffisance respiratoire chronique se produit lorsque les poumons ne parviennent plus à fournir suffisamment d’oxygène à l’organisme ou à éliminer le dioxyde de carbone (CO2) de manière efficace. Elle peut être causée par des maladies pulmonaires, cardiaques ou neurologiques.
Les patients souffrant d’insuffisance respiratoire peuvent éprouver des difficultés respiratoires à l’effort ou au repos, et la condition peut être stable ou se détériorer progressivement.
Les causes de l’insuffisance respiratoire peuvent être : BPCO, fibrose pulmonaire, maladies cardiaques chroniques, obésité sévère, troubles neuromusculaires affectant les muscles respiratoires…
Les symptômes de l’insuffisance respiratoire chroniques se caractérisent par : l’essoufflement (même au repos), une fatigue excessive, des infections respiratoires fréquentes, la cyanose (teint bleuâtre des lèvres ou des ongles)…
Le traitement peut inclure l’oxygénothérapie, qui consiste à administrer de l’oxygène supplémentaire pour maintenir une saturation optimale dans le sang.
La VNI (Ventilation Non Invasive) est également couramment utilisée pour aider à mieux ventiler les poumons et soulager l’effort respiratoire. Ces traitements sont essentiels pour améliorer la qualité de vie du patient et prévenir les complications graves.
Oui, à 100% sur prescription médicale, que ce soit pour l’apnée du sommeil (PPC) ou l’insuffisance respiratoire chronique (oxygénothérapie, ventilation, etc.). C’est la Sécurité sociale et votre complémentaire qui prennent en charge, sans avance de frais si l’ordonnance est bien à jour.
Cela dépend de votre pathologie. Pour l’apnée du sommeil, il s’agit d’un traitement au long cours, à ajuster selon vos bilans réguliers. En insuffisance respiratoire, cela peut être temporaire ou permanent. Le suivi permet d’adapter votre traitement si besoin.
Il n’existe pas de remède curatif connu contre la SAOS, donc votre traitement par PPC traite les symptômes de votre apnée du sommeil mais ne le guérit pas. Cela signifie que si vous arrêtez d’utiliser votre appareil de PPC pendant la nuit, vos voies aériennes risquent de s’obstruer et vos symptômes liés au SAOS comme les maux de tête matinaux ou la somnolence diurne, de réapparaître très certainement.
Oui, totalement. En tant que patient, vous êtes libre de choisir votre prestataire (c’est la loi). Chez Oxygem, nous vous proposons plusieurs modèles de masques, nous vous aidons à trouver celui qui vous va vraiment (sans vous imposer quoique ce soi, pour votre confort et votre forme retrouvée).
Non, pas douloureux. Mais oui, il y a un petit temps d’adaptation au début (comme avec n’importe quel appareil). Nous vous accompagnons justement pour que ce soit le plus confortable et discret possible au quotidien.
Oui, et en mieux ! Le masque peut surprendre au début, mais il permet surtout de retrouver un sommeil profond, sans réveils ni essoufflement. Nous suivons vos données pour s’assurer que tout est bien adapté à vos besoins.
Prenez rendez-vous avec votre médecin généraliste ou pneumologue. Il pourra vous prescrire un test du sommeil ou un bilan respiratoire. C’est le point de départ pour une prise en charge adaptée.
Oui, dans certains cas. Nous couvrons principalement la Nouvelle-Aquitaine, les Pays de la Loire et la Bretagne Sud. Si vous êtes en dehors de ces zones, contactez-nous : nous avons toujours des solutions à vous proposer.
Agence Bordeaux
40 avenue Ferdinand de Lesseps
33610, Canéjan
